mardi 12 janvier 2016

Liens et tout

Nous voici en 2016. J'espère que pour vous 2015 aura été prolifique en découvertes généalogiques tout autant qu'elle l'a été pour moi, et que je saurai en dire autant de l'année qui commence, à sa fin.

Un peu comme résumé et conscient que ce n'est pas tout les lecteurs qui cliquent sur ''articles plus anciens'' en bas de page, je me permets ici de redonder, notamment en affichant publiquement les documents remis aux cousins Gosselin lors de la réunion d'octobre, mais en y ajoutant d'autres branches. Pour agrandir un texte ou une photo, simplement cliquer dessus. Bonne lecture.
ps: je vous rappelle aussi l'adresse de mon arbre qui remonte dans certaines branches jusqu'à l'an 0.

Bonne lecture et n'hésitez pas à communiquer avec moi.












lundi 30 novembre 2015

Marchesseault-Gagnon-Gosselin

Comme je suis fier ce soir ! Un de mes 37 (!) cousins a retracé et vient de me transmettre une vieille photographie (ca 1915) qui réunissait à la fois mes grands-parents paternels et mes arrières-grands-parents maternels. Un bijou. Merci Claude Tardif d'avoir su préserver ce trésor.

Outre le fait qu'une telle réunion soit singulière en soi, qu'elle ait été immortalisée sur une photo et qu'elle existe encore aujourd'hui, 100 ans plus tard, tient du miracle. Surtout que je ne possédais aucune photo de ces arrières-aieuls. C'était les seuls de cette génération qui manquaient à ma collection, à mon arbre.

C'est d'autant plus important que, malheureusement, au fil des ans, on a perdu tout contact avec les Marchesseault et les Gagnon. Il faut dire que ces derniers avaient déménagé chez nos voisins américains et qu'à l'époque, pour des familles de la basse classe, les voyages ''de visite'' étaient malaisés, voire impossibles. Je suis donc particulièrement heureux de les honorer ici bien que je ne connaisse pas leur identité. Si un cousin Gagnon ou Marchesseault le puis, il est le bienvenu à compléter le tableau.

Pour le moment, on reconnaît plein centre, mes arrière-grands-parents, Basilice Marchesseault et Herménégilde Gagnon (lui aussi a l'air fier). À leur gauche, mes grands-parents, Béatrice Gagnon
et Elzéar Gosselin. Devant eux, les premiers enfants de leur nombreuse progéniture, dont mon père a fait partie ~quatre ans plus tard.

Comme il allait de soi à l'époque, les familles étaient divisées sur la photo. On peut donc croire qu'à la droite de Basilice on retrouvait des Marchesseault et quelques Gagnon à droite de la photo.


                                                   (cliquer sur la photo pour l'agrandir)

dimanche 18 octobre 2015

Quatre générations de Chamberland

Vous n'êtes pas sans avoir vu dans la colonne de droite de ce blog une vieille mémé tenant un bébé et lu dans sa vignette que le bébé est l'auteur de ces lignes.

Revoici donc cette arrière-arrière-grand-mère, Joséphine Houle, quelques années auparavant, posant avec son fils Alfred (à sa gauche), son petit-fils Aimé (mon grand-père, assis sur le bras du fauteuil) et son arrière petite-fille Gisèle (ma mère).

Ici, les parents de mon grand père Aimé: Alfred Chamberland et son épouse, Rosanna Rousseau, à l'occasion de leur 50e anniversaire de mariage, en 1938 (donc, mes arrières grands-parents).


De la vieille visite... (Delorme)

Vieille photo qui a dormi des années dans le grenier chez mes parents, qu'on vient de découvrir. Je vous rappelle que ma grand-mère maternelle était une Delorme. Voici donc la gent masculine de cette famille dont le père, un Sherbrookois connu à l'époque, était Georges Delorme (2e à droite). Celui-ci est ici en compagnie de ses fils (de gauche à droite):
Henri, Ludovic, Rolland, Léo, Adolphe et Gorges jr.

lundi 12 octobre 2015

Cousinage

Une branche des Gosselin d'origine sherbrookoise s'est retrouvée en liesse, samedi dernier, dans un resto local.

Une bonne partie des 37 cousins et cousines y ont pris part et se sont montrés favorables à une nouvelle rencontre à une date restant à déterminer.

Il faut souligner que beaucoup de ces cousins/cousines ne s'étaient pas vus depuis des années, sinon des décennies, car la plupart se sont disséminés loin de Sherbrooke au gré du temps. Si quelques-uns y demeurent encore, celui qui habite le plus loin (et qui n'a évidemment pu venir) est maintenant un Floridien.

Anecdote: le plus vieux (Yvan) a 83 ans, soit quelque 30 ans de plus que le plus jeune (Jean, absent). Les cousins/cousines présents ont profité de l'occasion pour honorer ''tante Lorraine'' (Rousseau), la seule survivante de la fratrie (11 enfants) engendrée par Elzéar Gosselin et Béatrice Gagnon, en en faisant la marraine d'honneur de cette première rencontre familiale.

Ci-bas, une photo des cousins/cousines présents. Quelques-uns tiennent commerce à Sherbrooke :


De gauche à droite:  Luc Gosselin, Normand Bouchard, Claude Tardif, Marc-André Bouchard (BES Musique), Marcel Gosselin (moteurs électriques Gosselin), Yvan Gosselin, Robert Pépin, Denise Gosselin, Daniel Bouchard, tante Lorraine, Serge Gosselin, Lucie Gosselin, Pierre Rousseau, Richard Gosselin.

lundi 7 septembre 2015

Vous avez dit Gagnon ?

Article intéressant dans La Presse aujourd'hui, portant sur le tourisme généalogique, une nouvelle tendance.
Ma branche Gagnon (grand-maman Béatrice) en serait ravie...

Cliquer ce mot , puis le lien qui apparaît.


mercredi 26 août 2015

Tel que promis...

Il y a quelques semaines, je vous avais promis de vous épater, chers cousins... Voici donc.

Tout Gosselin le moindrement intéressé par sa généalogie sait qu'il ne peut la remonter plus loin que Nicolas (1590). Pourquoi ? On ne connaît pas la raison.

Mes pérégrinations généalogiques m'ont cependant conduit dans des méandres insoupçonnés qui méritent certainement considération et examen plus approfondi, mais qui en même temps, dépassent mes aptitudes et ressources. Je vous passe donc le flambeau qui pourrait éclaircir ce mystère une fois pour toutes.

Ma contribution réside en deux points.

D'abord, j'ai trouvé un Goslin ou Gauzlin dit du Maine né vers 745. Malheureusement, je n'ai rien trouvé au niveau de son ascendance, mais sa descendance s'est cantonnée essentiellement dans l'homonymie du Maine. À tout le moins, le Maine n'est pas éloigné de la Normandie, où seraient nos racines. Donc, cul-de-sac ici aussi.

Ensuite une autre avenue s'est offerte en pâture à ma quête quand j'ai découvert un Gosselin 1er, comte de Schwerin (un comté au nord de l'Allemagne). Je joins ci-bas une carte afin de démontrer qu'encore une fois, ce n'est pas si loin de la Normandie (de Cambray, bourg natal de Nicolas).

Ce Gosselin 1er serait né vers 1150, d'un certain Dodelinus et l'arbre en vignette ci-bas nous offre 5 descendants, soit jusqu'à Gosselin VI, qui prend fin en 1327. Voici le lien de la page . Agrandi:


Voici la carte:

Il me faut maintenant avoir recours à d'autres sources pour déchiffrer un document rédigé en allemand, qui réfère à ce Dodelinus... Je vous reviendrai alors.

Entre-temps, j'ajoute au présent article un autre, fort intéressant, au même propos :
http://www.genealogie.org/famille/gosselin/cadrefr/doc-fr/originegosselin.html